L’art gaulois des statères conserve l’imaginaire celtique
Les Celtes évoluent à la fin de la période de La Tène (fin IIe- Ier siècle avjc), avant la conquête de César en 52 avjc. Ils continuent d’innover et construisent des cités fortifiées, les oppida, comme à Bibracte, la capitale des Éduens en Bourgogne… Malgré une influence romaine de plus en plus présente, les peuples celtes rivalisent d’imagination pour créer et frapper leur propre monnaie…
Par Maryse Marsailly (@blogostelle)
– Dernière mise à jour octobre 2018 –

REPÈRES CHRONOLOGIQUES
L’âge de fer, 750 avjc à 52 avjc. La civilisation de La Tène, 450 à 52 avjc. Conquête de la Gaule par César, 52 avjc. Chronologie générale L’art à l’âge du Fer
LES PEUPLES CELTES ET GAULOIS ÉDIFIENT DES OPPIDA ET DES REMPARTS
En Europe, l’oppidum est la ville gauloise par excellence. Mais c’est aussi un grand carrefour commercial. Chaque peuple gaulois frappe sa monnaie, sous la forme de statères, dont les décors cultive l’art celtique. Le terme d’oppidum – oppida au pluriel – est un mot barbare repris par César dans sa description de la Guerre des Gaules…

Des hameaux aux oppida…
À la fin de La Tène, aux IIe et Ie siècle avjc, les oppida sont des villes fortifiées autour desquelles s’organise la vie des populations gauloises. Ces cités celtes sont aussi des centres de pouvoir politique, économique et religieux…
C’est à la fin du IIe siècle avjc que les peuples celtes construisent leurs oppida dans différentes régions d’Europe occidentale. Certaines cités fortifiées sont installées cinquante ans plus tôt en Europe orientale comme à Manching, en Allemagne, et à Zavist, en ex-Tchécoslovaquie. Jusque-là, les populations celtiques vivaient essentiellement dans des fermes et des petits hameaux…
Un mur construit en terre et en pierres, et renforcé par un jeu de poutres…
Le Murus Gallicus, un astucieux rempart gaulois
L’enceinte qui entoure l’oppidum gaulois de Bibracte en Bourgogne mesure plus de 5 kilomètres et abrite une aire de 135 hectares… Les fortifications comprennent un enchevêtrement de systèmes de défenses qui seront améliorés jusqu’à la conquête romaine.
Les plus anciens remparts remontent au milieu du IIe siècle avjc. Leur structure interne, appelé Murus Gallicus, est décrite par César. Cette structure construite en terre et en pierres est renforcée par un jeu de poutres en bois entrecroisées. En façade, cette technique donne l’effet d’un mur à l’appareillage très régulier.

Le dragon-serpent d’un statère semble se mouvoir dans un univers fantastique…
Un réseau de fermes et de villages gaulois
À l’époque de La Tène, on rencontre trois types d’habitat. Fermes, demeures et villages structurent une vie sociale organisée et hiérarchisée. La cité fortifiée, l’oppidum, centralise le pouvoir politique, stratégique et religieux…
Entourée de remparts, la ville joue un rôle défensif et s’intègre dans un réseau de fermes et de villages. La société celte est composée de paysans, d’artisans et d’une élite guerrière qui contrôle les réseaux d’échanges et le commerce. L’agriculture et la production de bois font la richesse de la Gaule et cette richesse attire les Romains…

Les gaulois sont réputés pour être des guerriers assez redoutables, leur emblème est le sanglier, animal-attribut du dieu Lug…
Une place commerciale au cœur de l’oppidum
La structure urbaine des oppida se développe avec des rues, des places et des lieux dédiés à la production artistique et artisanale et au commerce. Quartiers résidentiels, quartiers artisanaux, marchés et espaces publics animent la vie de la société gauloise.
Cette complexité distingue les oppida des cités méditerranéennes. L’artisanat et la production en série prennent de l’essor. La vie économique devient très dynamique et les échanges commerciaux sont florissants…
Le trésor gaulois de Laniscat en Bretagne
En Bretagne, à Laniscat dans les Côtes d’Armor, les archéologues ont découvert un riche trésor gaulois dans une zone agricole implantée là dès le IIIe siècle avjc… Les 545 statères d’or et d’argent frappés par les Osismes remontent à 2100 ans environ, et révèlent l’importance de ce peuple gaulois sur le territoire Armoricain…
D’après un cavalier gaulois, statère osisme, Laniscat, électrum (or et argent), Bretagne, Ier siècle avjc ; un statère Namnètes, capitale Condenvincum-Nantes, vers 80-50 avjc, La Tène ; et un statère gaulois, œil et symbole solaire, or, IIe-Ie siècle avjc, Rouen, La Tène, Gaule celtique. (Marsailly/Blogostelle)
La grande diversité des monnaies celtes
Dès le IIIe siècle avjc, une économie monétaire se met en place en Gaule. Chaque peuple celte se dote de sa propre monnaie. Variées et nombreuses, les statères celtiques font preuve d’une grande créativité et parfois même de fantaisie…
Un statère d’or de Vercingétorix de Péronne représente d’un côté le portrait du chef gaulois, de l’autre, un étalon, un croissant de lune et une amphore… Ce système monétaire se fonde sur le contrôle de la circulation des matières premières et des importations grâce à la mise en place de zones de péage…

Vercingétorix, élu chef des Gaules
Bibracte connaît des événements importants. En 58 avjc, les Hélvètes subissent une défaite non loin de là, et en 52 avjc, Vercingétorix est élu chef des Gaules à Bibracte. César y séjourne durant l’hiver 52-51 avjc, après la bataille d’Alésia. Par la suite, Rome permettra aux Éduens d’installer leur nouvelle capitale non loin de là, à Autun…
BIBRACTE, UNE GRANDE CITÉ GAULOISE EN BOURGOGNE
Les Gaulois implantent l’oppidum de Bibracte sur les hauteurs du mont Beuvray dans le Morvan. Cette ville fortifiée, un modèle des premières organisations urbaines en Gaule, est la capitale des Éduens, peuple allié de Rome depuis 125 avjc… Bibracte s’octroie d’importantes fortifications grâce à son fameux Murus Gallicus.

Des quartiers dédiés aux arts du fer, du bronze, de l’émail…
Bibracte se divise en différents quartiers dont certains ont un rôle bien défini. À la périphérie de la ville et longeant les accès, on rencontre les quartiers artisanaux.
Des espaces délimités regroupent les spécialistes des arts du fer, du bronze et de l’émail. La métallurgie, les techniques d’alliage et de fabrication évoluent. Des ateliers de bronzier sont installés le long du rempart de l’oppidum…
L’importante diffusion des objets montre que l’artisanat produit de plus en plus en grandes quantités. La production en série se développe : verre, os, ivoire, cuir, peaux… Les charrons gaulois sont très réputés pour leur savoir-faire.
D’après une maison gauloise au quotidien et un atelier de bronzier ; oppidum de Bibracte, La Tène ; et un vase à décor incisé et imprimé, terre cuite, La Tène, âge du Fer, Gaule celtique. (Marsailly/Blogostelle)
Dans les foyers gaulois, poteries, récipients en métal, ustensiles de cuisine et outils sont à portée de main… Les céramiques portent des décors incisés et imprimés dans la pâte.
Des rues et des avenues pour circuler dans l’oppidum
Les rues et les îlots de Bibracte sont aménagés avec soin et s’intègrent dans un espace à forts dénivelés. Les quartiers résidentiels sont desservis par de larges voies. En macadam à l’eau, ces avenues mesurent plus de 8 mètres de large et sont bordées de trottoirs et de galeries.
Ainsi, l’ensemble des rues et des avenues dessine le plan de la ville et délimite des quartiers… Et ce sont des îlots de plus de 50 mètres de côté qui accueillent les riches demeures.
Bibracte possède une place publique et un bassin ovale
Le cœur de Bibracte accueille des foires et des marchés et dispose d’une vaste place publique. C’est là que se tiennent les assemblées du peuple Éduens et les rituels religieux.
Cet espace, de 40 mètres sur 70 mètres, est entièrement empierré. Il comprend un bassin de forme ovale de 10 mètres de long sur 4 mètres environ. Simple élément décoratif pour certains, ce bassin aurait pour d’autres un rôle symbolique, en relation avec des activités cultuelles.
Le bassin ovale de Bibracte se trouve quasi au centre des 4 points cardinaux et trône sur le mont Beuvray… ce qui n’est probablement pas un hasard… Cette construction gauloise ainsi orientée est peut-être destinée à servir une activité religieuse ou un rituel sacré…

Atrium, péristyle, jardins et bains dans les demeures
Les belles et riches villas sont construites sur le modèle romain, avec atrium, péristyle, jardins et bains. Une de ces maisons, contemporaine au moins de la Guerre des Gaules, possède des murs en mortier de chaux, un sol en brique et des peintures murales.
Ces résidences appartiennent à l’aristocratie du peuple Éduens. Cette élite dirige Bibracte, détient le pouvoir politique, la propriété des terres et des mines et contrôle également les péages… Pour certains historiens, La Tène finale se prolongerait jusqu’au principat d’Auguste, au moment de l’organisation administrative de la Gaule par Rome…
L’INFLUENCE ROMAINE SOUFFLE UN VENT DE SOBRIÉTÉ SUR L’ART GAULOIS…
À la fin de la période de La Tène, l’influence romaine transparaît dans l’art celte. Les artistes adoptent un style plus sévère, plus réaliste et plus rigoureux dans le dessin… sauf pour les monnaies, dont les décors créatifs s’inspirent de l’esprit celtique.

Le style sévère s’impose…
À la fin de la période de la Tène, artistes et artisans réalisent des objets en série. La longue épée celte des époques précédentes est remplacée par une épée courte. Seules les monnaies expriment encore la créativité et l’imaginaire celte. L’influence romaine donne naissance à un style plus sobre.
Les représentations humaines et animales sont traitées avec beaucoup plus de réalisme. On assiste à la disparition de l’art celte de la métamorphose, de l’art de l’illusion et du double sens.
L’esprit celtique avec ses jeux de décors et de surfaces, sur lesquels les éléments se mêlent les uns aux autres, fait place à une utilisation beaucoup plus rationnelle de l’espace et du dessin.
D’après un torque de la fin de l’âge du Fer, or, style sévère, La Tène, Ier siècle avjc ; et un torque gaulois, à tampons en timbale, bronze, Picardie, France, Gaule celtique. (Marsailly/Blogostelle)
… mais les statères prolongent l’imaginaire celtique
Les artistes de la fin de La Tène misent maintenant sur des fonds plans et des ajours. Ils ajoutent des surfaces émaillées qu’ils rehaussent parfois par quelques détails, en particulier sur les monnaies.
Les visages, les chevaux et les symboles abstraits des statères sont encore traités dans un esprit créatif, symbolique ou imaginaire, avec créativité et fantaisie… On retrouve toujours le goût celte pour un graphisme plutôt exubérant. On façonne aussi de nombreux animaux de petite taille en bronze coulé, que l’on retrouvera à l’époque de la Gaule Romaine…

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LE MONDE RURAL GAULOIS
Au temps de l’âge du Fer, des fermes parsèment l’Europe. Chacune exploite un ensemble assez modeste de terres. On y pratique l’agriculture et l’élevage. Au cours de la Tène, les fermes s’agrandissent et se multiplient. Peu à peu, des hameaux et des grands villages se développent et se structurent…

Des paysans, des éleveurs, et des artisans
La manière de s’approprier des terres est mal connue et varie d’une région à l’autre. Autour des grands domaines contrôlés par l’aristocratie guerrière, des paysans et des éleveurs vivent entourés des champs, des pâturages, des bois et des friches.
Parfois, ces gens de la terre enrichissent leurs ressources grâce à des activités spécialisées comme l’extraction minière, l’exploitation du sel marin ou l’artisanat de la poterie, des bijoux et de la métallurgie…
La ferme, lieu de vie, de travail et de culte
Aux IIe et Ie siècles avjc, on dote les fermes d’un ou plusieurs bâtiments d’habitation construits en bois et en terre. On prévoit aussi des constructions dédiées aux travaux agricoles et à l’élevage, comme des granges, des étables, des greniers, des silos…
D’après un vase à décor incisé et imprimé, motif de rouelles et svastika, terre cuite ; et une élégante céramique carénée, La Tène, âge du Fer. (Marsailly/Blogostelle)
À l’occasion des foires et des marchés, les villageois artisans présentent leurs productions : poterie, joaillerie, métallurgie…
La structure de ces fermes est souvent irrégulière. Parfois, elles s’intègrent dans un vaste enclos quadrangulaire pourvu de toutes les installations nécessaires à la survie de la communauté. La ferme peut être entourée de palissades et des fossés séparent les espaces d’habitation des cultures et des enclos pour le bétail.
À proximité de ces îlots d’habitations rurales, le long des chemins, les villageois implantent des lieux réservés à la dévotion privée, avec des installations cultuelles et des monuments funéraires familiaux…

Au cours de l’âge du Fer, les peuples celtiques pratiquent l’inhumation et l’incinération…
Les gaulois organisent des rassemblements en pleine campagne…
Les gaulois dédient de grands espaces aux activités publiques et aux assemblées. Si dans les campagnes les sanctuaires permettent ces réunions, d’autres structures accueillent également des grands rassemblements, comme sur le site d’Acy-Romance dans les Ardennes, en France.
Les lieux sont délimités par une palissade et sont propices à l’organisation de grands banquets. On y consomme des bœufs et des moutons et on y boit du vin… Ces espaces sont bordés en général par une rangée de bâtiments, peut-être à usage cultuel.

Les villageois ont leur cimetière, leurs marchés et leurs foires
Les villages gaulois prennent de l’expansion et se développent selon un plan régulier. Parfois, ils sont bâtis à partir d’un lieu de rassemblement ou de culte plus ancien. Les bourgs sont entourés par des nécropoles. Ces lieux de sépultures abritent les différents groupes familiaux de la communauté.
L’économie des villages repose sur l’exploitation d’un terroir et d’un cheptel, à laquelle s’ajoute l’artisanat et le commerce. Les foires et les marchés présentent les productions locales et attirent les marchands étrangers. Au IIe siècle avjc, parfois on frappe la monnaie et on effectue certains sacrifices dans les villages…
QUI EST VERCINGÉTORIX ?
Vercingétorix, fils du chef des Arvernes, Celtill, est décrit comme un très grand gaillard, jeune et vigoureux. Il reçoit la formation prodiguée par les druides, détenteurs du sacerdoce et du savoir, dont les conceptions spirituelles sont proches de celles des pythagoriciens…

Les druides, savants prêtres celtiques
Or, à l’époque de la Gaule celtique, toutes les grandes décisions se font avec les druides… Ces prêtres celtiques tentent par ailleurs de faire évoluer les fougueuses tribus gauloises qui s’adonnent volontiers à la guerre et à la violence…
Les Druides connaissent de presque toutes les contestations publiques et privées. Si quelque crime a été commis, si un meurtre a eu lieu, s’il s’élève un débat sur un héritage ou sur des limites, ce sont eux qui statuent ;…
… ils dispensent les récompenses et les peines. Si un particulier ou un homme public ne défère point à leur décision, ils lui interdisent les sacrifices ; c’est chez eux la punition la plus grave (La guerre des Gaule ou Commentaires de César, siècle avjc)

Vercingétorix et César
Selon Jean-Louis Brunaux, dans sa biographie de Vercingétorix, le chef gaulois, existe surtout grâce au portrait que César fait de lui dans son ouvrage de propagande La Guerre des Gaules (Commentaires de César, rédigés entre 58 et 51 avjc).
César irait jusqu’à exalter les qualités guerrières de Vercingétorix pour en faire un adversaire digne de sa propre grandeur et valoriser ainsi ses propres victoires… Mais le chef de guerre romain évite de mentionner qu’il entretenait des liens d’amitié et d’hospitalité avec le jeune Arverne…
Le spécialiste raconte de quelle manière Vercingétorix se situe, plusieurs années durant, dans la sphère de César. Le chef gaulois l’assiste même contre Arioviste et une coalition de Germains qui tentent de venir s’installer dans l’Est de la Gaule…

La révolte de Vercingétorix
Plus tard, Vercingétorix prend la tête de la révolte des Gaulois contre Rome. César veut soumettre les Gaulois qu’il considère comme des barbares pour instaurer la paix romaine, la pax romana.
De son côté, Vercingétorix, anticolonialiste, refuse l’acculturation (assimilation, intégration) au monde romain… Et selon l’archéologue Jean-Louis Brunaux, le noble et grand guerrier à l’air terrible fut près de vaincre César…
Vercingétorix arriva trop tard dans un monde en mutation…
Vercingétorix, défenseur de La liberté commune
L’élite gauloise du centre de la Gaule s’éloigne déjà de ses valeurs ancestrales et aspire à vivre sur le modèle romain… Et quelques années plus tôt, explique l’archéologue, Vercingétorix eût gagné son pari, rassembler les hommes et les cités autour d’un même projet politique qu’il définissait comme celui de la liberté commune.
Contrairement aux populations des empires grec et romain, les peuples celtes ne sont pas soumis à une autorité impériale et verticale… Chaque tribu celtique vit de manière libre et autonome et élit son chef, dont l’autorité ne se transmet pas de père en fils… Il semble également que les princesses celtes bénéficient des même égards que les prince celte…

XIXe siècle : le mythe Vercingétorix
Au XIXe siècle, des historiens transforment Vercingétorix, dont pourtant on ne sait quasiment rien, en une figure héroïque nationale, chef rebelle de nos ancêtres les Gaulois. Mais nous savons que les Celtes ne formaient pas une nation en tant que telle…
En fait, une pluralité de peuples celtiques évoluait au sein d’une même sphère culturelle, dont le terreau commun comprenait : différents dialectes – mais compréhensibles par tous grâce à des éléments de langage similaires-, des croyances, des pratiques cultuelles, et des styles et des savoir-faire artistiques comparables…

Au XIXe siècle, un courant qualifié de celtomanie touche par ailleurs les arts et les lettres. Ainsi, celtophiles et celtomanes cherchent l’inspiration dans un univers celtique fantasmatique… Au XXe siècle encore, le redoutable adversaire de César symbolise l’indépendance nationale quand, dans certains discours, Charles de Gaulle fait lui aussi l’apologie de Vercingétorix, héros du patriotisme…
En 52 avjc, César conquiert la Gaule… mais le savoir-faire gaulois et la culture celte vont perdurer à l’époque de la Gaule Romaine… Ce sont les druides, répartis en différents collèges, qui sont les gardiens de la tradition spirituelle et du savoir. Ces spécialistes du Sacré officient au bon déroulement des rituels, des sacrifices et des cérémonies…
Bloc-notes+ Des livres? La guerre des Gaule, les commentaires de Jules César, rédigés au Ier siècle avjc (entre 58 et 51 avjc). Vercingétorix, de Jean-Louis Brunaux, archéologue, spécialiste de la civilisation gauloise. Un document?1865 : la création du mythe de Vercingétorix (www.)retronews.fr/politique/echo-de-presse/2018/04/25/1865-la-creation-du-mythe-de-vercingetorix
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